Leslie Nr : Histoires Libertines Elle Aime Les Grosses
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Histoires libertines Elle aime les grosses
Je mappelle Marie-Claire et si je vous dis que je viens davoir quarante ans, cela ne vous avancera pas plus que de savoir que je suis une femme comme une autre qui sépile la chatte régulièrement, sentretien du mieux possible, que parfois je prends le risque de sortir sans culotte et que jadore le sexe.
Vous avez la possibilité de mimaginer à votre guise, je peux être la femme de vos fantasmes ou de vos rêves, celle que vous aimeriez rencontrer mais que vous navez jamais croisé.
Imaginez une femme brune aux cheveux longs, souvent portés en chignon, grande et mince, une poitrine bien formée pas trop grosse, quatre-vingt-cinq C, une allure cambrée et je nai pas un gros cul, voilà vous savez tout
Question familiale, cest très simple, je ne me suis jamais mariée pour garder ma liberté et je nai pas d compte tenu que je porte un stérilet depuis lâge de seize ans, lorsque ma mère me la fait poser par son gynéco, qui est devenu le mien par la suite, en disant « on ne sait jamais, un accident est si vite arrivé
».
La pose du stérilet sest bien passée et, sur les conseils du gynéco, ma mère à reprit rendez-vous pour une visite de contrôle, fixée trois mois plus tard. Je fus étonnée quand avant de partir il dit à ma mère :
- Elle peut venir seule, ce nest quune visite de routine rapide.
Je fus étonné de sa remarque dautant plus que lors de la pose du stérilet, il avait pris son temps à regarder ma petite fente recouverte de poils naissants et ne sétait pas gêné pour me toucher sur certaines parties de mon intimité, ma mère étant présente javais serré les dents pour ne pas gémir
Trois mois plus tard, jai compris quelle avait raison, elle ne pouvait pas dire mieux et dailleurs elle a bien fait de me faire poser un stérilet, car lors de cette visite chez ce vicieux, il ne sest pas gêné pour prendre ma virginité, avec tact et douceur mais il me la prise.
Eh oui, jexerce la noble profession de médecin gynécologue dans un quartier bourgeois de la capitale, et je me suis spécialisée dans les problèmes de lérection masculine.
Depuis mon plus jeune âge, il y a en moi un côté animal qui réclame juste du sexe, pas damour ni sentiments, du physique pur, cest dailleurs peu de temps après avoir perdu ma virginité que jai pris conscience que javais un besoin vital de sexe.
Cétait pendant mes études de médecine, et je confirme que les étudiants en médecine, tout comme les internes sont de chauds lapins, cest pourquoi je nai pas compté le nombre de ceux qui mont sauté, mais je vous assure quil y en a eu un paquet, car à cette époque chaque occasion était une opportunité, et je ne parle pas des nombreuses partouzes auxquelles jai participé
Très vite, ma réputation fut faite, jétais une femme à hommes, une baiseuse.
Mais je ressentais parfois dans mes relations éphémères comme une frustration, un manque, et je compris vers la fin de mes études que ce nétait quune question de taille, en fait jaimais les grosses queues, jétais une femme qui aimait les grosses
Vous comprendrez que dans ce contexte, le sexe a toujours constitué pour moi une part importante de ma vie, et même si parfois je maccorde une aventure saphique, le sexe est le principal objet de mes relations et les gros de préférence pour remplirent, le plus souvent, ma vie comme mes orifices.
Bien évidemment on se contente de ce que lon trouve, dans le pantalon, car ce nest pas affiché sur son front que le monsieur possède un gros membre, cest pour cela que mon métier a un certain avantage, car si ce nest pas écrit sur son front lors dune visite, je peux lors de cette visite vérifier ce quil a dans son pantalon.
Dailleurs je dois préciser que lorsque je me suis installée, jai fait très attention à la disposition des lieux. Jai été séduite par lendroit où jai choisi dexercer mon métier.
Au rez-de-chaussée dune coquette petite résidence privée de deux étages, on accède à mon cabinet grâce à visiophone relié à mon bureau. Une salle dattente et mon bureau avec une petite pièce, attenante, pour pratiquer une auscultation éventuelle, constituent le coin pour le travail, jai pris soin dinsonoriser le bureau pour une question de confidentialité. Mais ce qui ma plu, cest le petit appartement privé attenant et auquel on accède directement depuis mon bureau, il est constitué dun petit dressing-boudoir, une chambre et une salle de bains et une kitchenette.
Depuis que je me suis installée, jen ai vu des membres, de toutes les tailles et de toutes les grosseurs, sans parler des couleurs.
Jen ai touché des queues et soupesé des bourses avec parfois des envies qui montent, et javoue quil marrive parfois de mouiller quand un bel homme à lallure sportif, après avoir franchi la porte de mon cabinet me propose son bel organe, je suis extasiée par la chance de voir un slip bien rempli, imaginer en voyant la déformation du tissu le paquet qui se cache dessous, quel bonheur que la découverte dun tel trésor caché, ce membre que je peux, juste pendant le temps de la consultation, palper, soupeser, et aussi en admirer la texture et la forme, en résistant pour ne pas la prendre entre mes lèvres.
Alors après de telles éprouvantes consultations, il est normal que je prenne un peu de temps pour moi pour le soulager en me donnant du plaisir, je ne vous dirais pas comment laissant libre court à votre imagination
Un travail palpitant et prenant, parfois même éprouvant et qui ne laisse pas beaucoup de place au loisir mais offre, parfois, léventuelle possibilité de séduire un client.
Un jour un homme est entré dans mon cabinet pour la simple raison quil avait un sexe énorme et cet état le rendais malheureux.
Jen fut très étonné, car il est plus courant de rencontrer des hommes qui se plaignent davoir un membre trop petit, que ceux se plaignant den avoir un trop gros
Enfin, je lai ausculté et jai en premier, alors quil se déshabillait queffectivement ses parties génitales débordaient littéralement du léger coton de son slip.
Il avait lair gêné du gars qui a du mal à se mettre à poils, comme complexé de se livrer dans son plus simple appareil, et jy fus aussitôt sensible. Mais une fois nu je me suis rendu compte quil en possédait effectivement une grosse, voir énorme.
Je lai ausculté, sans doute dun peu trop près ou a-t-il été sensible à la douceur de mes doigts, mais son sexe a pris de la vigueur, de lépaisseur et sest redressé
Et là, mes amies, un engin de folie, quand je dis folie, imaginez un membre de vingt-trois centimètres et de cinq centimètres de diamètre, circoncis, un engin pareil ça tient à peine dans la main, encore moins dans la bouche, alors imaginez dans le cul
Alors je lui demandais :
- Bon maintenant dites-moi votre souci, mais je pense le connaître.
- Vous voyez, me dit-il, membré comme je suis, je fais plus peur quenvie.
- Je comprends aisément le trouble que peuvent manifester vos partenaires.
- Dautant plus que je ne suis pas en complète érection, parce que là, quand il y est, il est vraiment impressionnant.
- Et vous navez jamais rencontrer de femme aimant les gros sexes ? Lui demandais-je.
- A trente-cinq ans, je nen ai rencontré que deux qui ont accepté que je les pénètre, et seulement par la chatte.
Comprenant sa frustration je me suis dit que cet homme dans mon cabinet était une véritable aubaine pour moi, alors je lui ai dit :
- Ecoutez, comme jai des rendez-vous toute la journée, je vais vous proposer de revenir me voir ce soir à vingt heures pour faire un examen plus approfondi, pouvez-vous venir ?
- Je suis libre ce soir, alors je viendrais.
Il est parti et jai terminé ma journée à dix-neuf heures jai fermé la porte derrière mon dernier client, et je me suis préparée
Dans mon petit appartement privé, jai pris un bon bain et je me suis maquillée, puis je me suis vêtue le plus simplement du monde, rien de plus quune jupe crayon et dun chemisier blanc, rien de plus
Dix minutes plus tard mon client était debout dans mon cabinet et assise en face de lui, je lui ai dit :
- Bon, montrez-moi cela que je regarde de plus près
Il a enlevé son pantalon et son boxer et sest retrouvé le bas du corps nu devant moi
Je suis incapable de résister à un beau membre et une belle paire de couilles, alors je pris ses couilles dans main en tenant sa queue dans lautre, afin dadmirer et dapprécier la beauté de ce que je tenais en mains.
Bien entendu, mon client se mit à bander. Sans réfléchir, dans le feu de linstant, après lavoir laissé prendre de lampleur, japprochais ma tête de son bas-ventre je laissais ma bouche envelopper son gland, lisse et brûlant, et entrepris une fellation dautant plus frénétique quelle était totalement imprévue pour lui, mais bien préméditée pour moi.
Au bout de quelques minutes, après mêtre longuement intéressée de la bouche à son membre, je senti celui-ci palpiter, je me suis retirée en serrant sa queue fort dans ma main pour lui éviter de jouir, ne sachant pas sil pourrait avoir plusieurs jouissances répétées, mais il me rassura en me disant :
- Je suis très résistant, ce que me reproche mes partenaires et en plus je peux jouir à répétition.
Les anges étaient avec moi, le vrai bonheur, je venais de toucher le gros lot, un résistant qui en plus pouvait recommencer plusieurs fois, alors je lui demandais :
- Vous aimeriez me baiser ?
- Cest bien la première fois quune femme me demande de la baiser, alors bien-sûr que jaimerais et en plus avec ma gynéco, le pied !
Inutile de vous raconter ce qui sest passé ce soir-là dans mon bureau et heureusement que le bureau était capitonné, car mon client sen ai donné à cur joie, il ma fait hurler en me baisant sur mon bureau avec sa grosse queue, jamais je navais, pour mon bonheur, été aussi remplie et possédée. Il ma limé pendant plus de trente minutes avant de jouir en moi, gémissants à lunisson lorsquensemble nous avons jouis.
Nous avons bu un verre en reprenant nos forces, amis javais maintenant lenvie dessayer, même si lidée me donnait des frissons dans tout le corps et je redoutais lacte, alors je lui demandais :
- Cela vous tenterait de me sodomisez ?
- Alors là, vous êtes incroyable, cest la première fois quune femme me le demande !
Je me replaçais sur le bureau, les jambes en lair et après les avoir placés sur ses épaules, le gland contre ma rondelle, il se mit à pousser pour lintroduire en moi et forcer, par la poussée de ses reins, mon sphincter. Je dois avouer que ce ne fût pas chose facile, il dut sy reprendre à plusieurs fois en me faisant gueuler de douleur. Puis il est entré lentement pour finir complètement enfiché en moi et ma pilonné doucement mais longuement, il à une nouvelle fois joui en moi.
Nous nous sommes revus régulièrement, une ou deux fois par semaine, et à chaque fois quil menculait en partant, je restais avec le souvenir de cette sodomie hors normes et de la douleur lancinante de mes chairs ayant été es et abusées, mais lenvie dune nouvelle fois reprenait rapidement le dessus
Pendant tout le temps que jai gardé cet amant, jai eu dautres aventures avec les hommes fortement ou moins membrés qui mont possédé, mais je ne vous les raconterais pas toutes, parler seulement de celles jappelle les bons coups.
Par exemple, un des infirmiers avec lequel je travaille, un queutard de première qui avait décelé en moi la baiseuse et il ne fallut pas longtemps avant que je me retrouve sur son lit dintervention, pliée en deux sous lui avec les talons sur ses clavicules, ses grosses couilles battant mes grosses fesses pendant que son chibre épais fouillait mon vagin.
Ou encore ce pompier qui après sêtre débarrassé de son uniforme, mexhiba un phallus danthologie, puis quand il me pénétra, alors que jétais en levrette, je me mis à miauler comme une chatte en chaleur, me fichant complètement de la salle dattente.
Jévoquerais aussi juste un congrès, mayant rappelé mes folles jeunes années et le temps des partouzes, où je fus besognée par trois professeurs qui me prirent par les trois orifices simultanément, mais qui sessayèrent à tour de rôle dans chaque
Et ce jeune kiné homosexuel, bien membré faut-il le préciser, étant venu me consulter pour un problème de relation avec son compagnon qui se plaignait de rapports trop fréquents et ne supportait plus les douleurs entre chaque rapport. Il venait chaque semaine dans mon cabinet pour me sodomiser entre deux patients en me remerciant de soulager lanus de son compagnon et ainsi sauver leur couple
En fait, je crois que jai trouvé chaussure à mon pied ou plutôt membres à mes trous
A suivre
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