Leslie Nr : Histoires Libertines – Elle Aime Les Grosses

Leslie NR79 – Nouveaux récits
Histoires libertines – Elle aime les grosses

Je m’appelle Marie-Claire et si je vous dis que je viens d’avoir quarante ans, cela ne vous avancera pas plus que de savoir que je suis une femme comme une autre qui s’épile la chatte régulièrement, s’entretien du mieux possible, que parfois je prends le risque de sortir sans culotte et que j’adore le sexe.
Vous avez la possibilité de m’imaginer à votre guise, je peux être la femme de vos fantasmes ou de vos rêves, celle que vous aimeriez rencontrer mais que vous n’avez jamais croisé.
Imaginez une femme brune aux cheveux longs, souvent portés en chignon, grande et mince, une poitrine bien formée pas trop grosse, quatre-vingt-cinq C, une allure cambrée et je n’ai pas un gros cul, voilà vous savez tout…

Question familiale, c’est très simple, je ne me suis jamais mariée pour garder ma liberté et je n’ai pas d’ compte tenu que je porte un stérilet depuis l’âge de seize ans, lorsque ma mère me l’a fait poser par son gynéco, qui est devenu le mien par la suite, en disant « on ne sait jamais, un accident est si vite arrivé… ».
La pose du stérilet s’est bien passée et, sur les conseils du gynéco, ma mère à reprit rendez-vous pour une visite de contrôle, fixée trois mois plus tard. Je fus étonnée quand avant de partir il dit à ma mère :
- Elle peut venir seule, ce n’est qu’une visite de routine rapide.
Je fus étonné de sa remarque d’autant plus que lors de la pose du stérilet, il avait pris son temps à regarder ma petite fente recouverte de poils naissants et ne s’était pas gêné pour me toucher sur certaines parties de mon intimité, ma mère étant présente j’avais serré les dents pour ne pas gémir…
Trois mois plus tard, j’ai compris qu’elle avait raison, elle ne pouvait pas dire mieux et d’ailleurs elle a bien fait de me faire poser un stérilet, car lors de cette visite chez ce vicieux, il ne s’est pas gêné pour prendre ma virginité, avec tact et douceur mais il me l’a prise.

Enfin ce n’est qu’un souvenir faisant partie du passé, mais je pense que cette première expérience a marqué ma vie, je suis devenue comme par hasard gynécologue et je me souviens que celui qui m’a défloré en avait une belle, une grosse…

Eh oui, j’exerce la noble profession de médecin gynécologue dans un quartier bourgeois de la capitale, et je me suis spécialisée dans les problèmes de l’érection masculine.
Depuis mon plus jeune âge, il y a en moi un côté animal qui réclame juste du sexe, pas d’amour ni sentiments, du physique pur, c’est d’ailleurs peu de temps après avoir perdu ma virginité que j’ai pris conscience que j’avais un besoin vital de sexe.
C’était pendant mes études de médecine, et je confirme que les étudiants en médecine, tout comme les internes sont de chauds lapins, c’est pourquoi je n’ai pas compté le nombre de ceux qui m’ont sauté, mais je vous assure qu’il y en a eu un paquet, car à cette époque chaque occasion était une opportunité, et je ne parle pas des nombreuses partouzes auxquelles j’ai participé…
Très vite, ma réputation fut faite, j’étais une femme à hommes, une baiseuse.
Mais je ressentais parfois dans mes relations éphémères comme une frustration, un manque, et je compris vers la fin de mes études que ce n’était qu’une question de taille, en fait j’aimais les grosses queues, j’étais une femme qui aimait les grosses…
Vous comprendrez que dans ce contexte, le sexe a toujours constitué pour moi une part importante de ma vie, et même si parfois je m’accorde une aventure saphique, le sexe est le principal objet de mes relations et les gros de préférence pour remplirent, le plus souvent, ma vie comme mes orifices.
Bien évidemment on se contente de ce que l’on trouve, dans le pantalon, car ce n’est pas affiché sur son front que le monsieur possède un gros membre, c’est pour cela que mon métier a un certain avantage, car si ce n’est pas écrit sur son front lors d’une visite, je peux lors de cette visite vérifier ce qu’il a dans son pantalon.

D’ailleurs je dois préciser que lorsque je me suis installée, j’ai fait très attention à la disposition des lieux. J’ai été séduite par l’endroit où j’ai choisi d’exercer mon métier.
Au rez-de-chaussée d’une coquette petite résidence privée de deux étages, on accède à mon cabinet grâce à visiophone relié à mon bureau. Une salle d’attente et mon bureau avec une petite pièce, attenante, pour pratiquer une auscultation éventuelle, constituent le coin pour le travail, j’ai pris soin d’insonoriser le bureau pour une question de confidentialité. Mais ce qui m’a plu, c’est le petit appartement privé attenant et auquel on accède directement depuis mon bureau, il est constitué d’un petit dressing-boudoir, une chambre et une salle de bains et une kitchenette.
Depuis que je me suis installée, j’en ai vu des membres, de toutes les tailles et de toutes les grosseurs, sans parler des couleurs.
J’en ai touché des queues et soupesé des bourses avec parfois des envies qui montent, et j’avoue qu’il m’arrive parfois de mouiller quand un bel homme à l’allure sportif, après avoir franchi la porte de mon cabinet me propose son bel organe, je suis extasiée par la chance de voir un slip bien rempli, imaginer en voyant la déformation du tissu le paquet qui se cache dessous, quel bonheur que la découverte d’un tel trésor caché, ce membre que je peux, juste pendant le temps de la consultation, palper, soupeser, et aussi en admirer la texture et la forme, en résistant pour ne pas la prendre entre mes lèvres.
Alors après de telles éprouvantes consultations, il est normal que je prenne un peu de temps pour moi pour le soulager en me donnant du plaisir, je ne vous dirais pas comment laissant libre court à votre imagination…
Un travail palpitant et prenant, parfois même éprouvant et qui ne laisse pas beaucoup de place au loisir mais offre, parfois, l’éventuelle possibilité de séduire un client.

Un jour un homme est entré dans mon cabinet pour la simple raison qu’il avait un sexe énorme et cet état le rendais malheureux.

J’en fut très étonné, car il est plus courant de rencontrer des hommes qui se plaignent d’avoir un membre trop petit, que ceux se plaignant d’en avoir un trop gros…
Enfin, je l’ai ausculté et j’ai en premier, alors qu’il se déshabillait qu’effectivement ses parties génitales débordaient littéralement du léger coton de son slip.
Il avait l’air gêné du gars qui a du mal à se mettre à poils, comme complexé de se livrer dans son plus simple appareil, et j’y fus aussitôt sensible. Mais une fois nu je me suis rendu compte qu’il en possédait effectivement une grosse, voir énorme.
Je l’ai ausculté, sans doute d’un peu trop près ou a-t-il été sensible à la douceur de mes doigts, mais son sexe a pris de la vigueur, de l’épaisseur et s’est redressé…
Et là, mes amies, un engin de folie, quand je dis folie, imaginez un membre de vingt-trois centimètres et de cinq centimètres de diamètre, circoncis, un engin pareil ça tient à peine dans la main, encore moins dans la bouche, alors imaginez dans le cul… Alors je lui demandais :
- Bon maintenant dites-moi votre souci, mais je pense le connaître.
- Vous voyez, me dit-il, membré comme je suis, je fais plus peur qu’envie.
- Je comprends aisément le trouble que peuvent manifester vos partenaires.
- D’autant plus que je ne suis pas en complète érection, parce que là, quand il y est, il est vraiment impressionnant.
- Et vous n’avez jamais rencontrer de femme aimant les gros sexes ? Lui demandais-je.
- A trente-cinq ans, je n’en ai rencontré que deux qui ont accepté que je les pénètre, et seulement par la chatte.
Comprenant sa frustration je me suis dit que cet homme dans mon cabinet était une véritable aubaine pour moi, alors je lui ai dit :
- Ecoutez, comme j’ai des rendez-vous toute la journée, je vais vous proposer de revenir me voir ce soir à vingt heures pour faire un examen plus approfondi, pouvez-vous venir ?
- Je suis libre ce soir, alors je viendrais.

Il est parti et j’ai terminé ma journée à dix-neuf heures j’ai fermé la porte derrière mon dernier client, et je me suis préparée…
Dans mon petit appartement privé, j’ai pris un bon bain et je me suis maquillée, puis je me suis vêtue le plus simplement du monde, rien de plus qu’une jupe crayon et d’un chemisier blanc, rien de plus…

Dix minutes plus tard mon client était debout dans mon cabinet et assise en face de lui, je lui ai dit :
- Bon, montrez-moi cela que je regarde de plus près…
Il a enlevé son pantalon et son boxer et s’est retrouvé le bas du corps nu devant moi…
Je suis incapable de résister à un beau membre et une belle paire de couilles, alors je pris ses couilles dans main en tenant sa queue dans l’autre, afin d’admirer et d’apprécier la beauté de ce que je tenais en mains.
Bien entendu, mon client se mit à bander. Sans réfléchir, dans le feu de l’instant, après l’avoir laissé prendre de l’ampleur, j’approchais ma tête de son bas-ventre je laissais ma bouche envelopper son gland, lisse et brûlant, et entrepris une fellation d’autant plus frénétique qu’elle était totalement imprévue pour lui, mais bien préméditée pour moi.
Au bout de quelques minutes, après m’être longuement intéressée de la bouche à son membre, je senti celui-ci palpiter, je me suis retirée en serrant sa queue fort dans ma main pour lui éviter de jouir, ne sachant pas s’il pourrait avoir plusieurs jouissances répétées, mais il me rassura en me disant :
- Je suis très résistant, ce que me reproche mes partenaires et en plus je peux jouir à répétition.
Les anges étaient avec moi, le vrai bonheur, je venais de toucher le gros lot, un résistant qui en plus pouvait recommencer plusieurs fois, alors je lui demandais :
- Vous aimeriez me baiser ?
- C’est bien la première fois qu’une femme me demande de la baiser, alors bien-sûr que j’aimerais et en plus avec ma gynéco, le pied !

Inutile de vous raconter ce qui s’est passé ce soir-là dans mon bureau et heureusement que le bureau était capitonné, car mon client s’en ai donné à cœur joie, il m’a fait hurler en me baisant sur mon bureau avec sa grosse queue, jamais je n’avais, pour mon bonheur, été aussi remplie et possédée. Il m’a limé pendant plus de trente minutes avant de jouir en moi, gémissants à l’unisson lorsqu’ensemble nous avons jouis.
Nous avons bu un verre en reprenant nos forces, amis j’avais maintenant l’envie d’essayer, même si l’idée me donnait des frissons dans tout le corps et je redoutais l’acte, alors je lui demandais :
- Cela vous tenterait de me sodomisez ?
- Alors là, vous êtes incroyable, c’est la première fois qu’une femme me le demande !
Je me replaçais sur le bureau, les jambes en l’air et après les avoir placés sur ses épaules, le gland contre ma rondelle, il se mit à pousser pour l’introduire en moi et forcer, par la poussée de ses reins, mon sphincter. Je dois avouer que ce ne fût pas chose facile, il dut s’y reprendre à plusieurs fois en me faisant gueuler de douleur. Puis il est entré lentement pour finir complètement enfiché en moi et m’a pilonné doucement mais longuement, il à une nouvelle fois joui en moi.
Nous nous sommes revus régulièrement, une ou deux fois par semaine, et à chaque fois qu’il m’enculait en partant, je restais avec le souvenir de cette sodomie hors normes et de la douleur lancinante de mes chairs ayant été es et abusées, mais l’envie d’une nouvelle fois reprenait rapidement le dessus…

Pendant tout le temps que j’ai gardé cet amant, j’ai eu d’autres aventures avec les hommes fortement ou moins membrés qui m’ont possédé, mais je ne vous les raconterais pas toutes, parler seulement de celles j’appelle les bons coups.
Par exemple, un des infirmiers avec lequel je travaille, un queutard de première qui avait décelé en moi la baiseuse et il ne fallut pas longtemps avant que je me retrouve sur son lit d’intervention, pliée en deux sous lui avec les talons sur ses clavicules, ses grosses couilles battant mes grosses fesses pendant que son chibre épais fouillait mon vagin.
Ou encore ce pompier qui après s’être débarrassé de son uniforme, m’exhiba un phallus d’anthologie, puis quand il me pénétra, alors que j’étais en levrette, je me mis à miauler comme une chatte en chaleur, me fichant complètement de la salle d’attente.
J’évoquerais aussi juste un congrès, m’ayant rappelé mes folles jeunes années et le temps des partouzes, où je fus besognée par trois professeurs qui me prirent par les trois orifices simultanément, mais qui s’essayèrent à tour de rôle dans chaque…
Et ce jeune kiné homosexuel, bien membré faut-il le préciser, étant venu me consulter pour un problème de relation avec son compagnon qui se plaignait de rapports trop fréquents et ne supportait plus les douleurs entre chaque rapport. Il venait chaque semaine dans mon cabinet pour me sodomiser entre deux patients en me remerciant de soulager l’anus de son compagnon et ainsi sauver leur couple…

En fait, je crois que j’ai trouvé chaussure à mon pied ou plutôt membres à mes trous…

A suivre…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!